Un passé bien présent

Seigneur Loup Nombre de messages : 205 Date d'inscription : 30/07/2005

Slash ne put réprimer un sourire aux propos de Cormag. Il aimait, de plus en plus, son insolence et ses vantardises. Il fit un pas en avant et tapoa son épaule en secouant la tête.

Ce que je pense de cet homme, Cormag, est bien plus compliqué. Je comprends que tu ais de la rancoeur, mais garde toi de trop l'exprimer.

Il lui fit un sourire avant de retourner un regard calme vers Constantin.

Ne force pas trop sur la bouteille. Le vin d'ici est plutôt fort...

Il se tut uninstant, levant la tête, avant de planter son regard dans celui de Constantin.

Tu ne comprends décidément rien. Tu n'es plus un loup, ni un chevalier noir. Cette statuette, où une patte t'a été arrachée, te sied parfaitement. Cela dit, je n'ai ni haine ni mépris à ton égard. Je ne cautionne pas ton acte, c'est tout. Attaquer un village? Tuer ses soldats? Tu agis au grand jour en utilisant un sabre taché de sang. Les lames ne doivent être utilisées que dans l'ombre. Le fait même que tu ais agi publiquement fait de ta vengeance une vendetta et de ton assassinat une exécution.

Tu portes bien ton nom, Constantin.
Qu'importe.. Je ne crois pas avoir dit ce que je pensais de toi dans ton essence, je ne crois pas t'avoir manqué de respect d'aucune façon... Que voudrais tu que je fasse? Que je t'acclame? Je te traite comme un égal déjà, sois en digne. Je sais faire preuve de franchise, et pour toi mes critiques sont inacceptables ou inadmissibles, tu peux aussi bien te lever et partir. Personne ne te retiendra.

Langue pendue Nombre de messages : 61 Date d'inscription : 04/01/2006

Fort mais fruité.

Constantin s'attait assit sur une chaise, la bouteille devant lui.

Je ne suis pas un Chevalier Noir mais un Sombre Exécuteur, et jamais je n'ai dis le contraire... Voilà pourquoi je tus en plein jour, comme bon me semble, de la manière qui me semble la plus appropriée. La méthode n'est pas la même, mais le résultat oui.
Mais tu remarquera tout de même que ce n'est pas moi qui ai répendu la nouvelle...

L'olympien but un autre verre de vin qu'il vida d'un trait.

Qu'en à tes propos, ils ne sont pas inadmissible non...

Constantin se leva avec délicatesse et se mit face à Slash, son visage proche du sien.

Pourquoi ne pas rentrer dans les détails alors? Toute ces années auprès de toi, jamais nous n'avons parler comme des amis, et pourtant c'est ce que nous étions.
Vois tu je te considérais comme un père, je crois même que tu étais la personne que j'aimais le plus... Ensuite j'ai voulu partir, ce que j'ai fais. Lors de mes visites je te sentais de plus en plus réticent, à voilà que maintenant je suis un ennemi potentiel. En aucun cas je ne jette la faute sur toi, si j'avais voulu que tout reste ainsi je n'avais pas qu'à partir.

L'alcool commencait à monter au cerveau, Constantin se controlait de moins en moins, laissant libre cour à ses émotions.

C'est ainsi, le destin, la fatalité peut être?! Et oui Constantin le misérable, le mauvais, à force de dire que je suis ainsi je vais finir par l'être réellement...

Le regard de l'olympien se posa sur un grand miroir, par dessus l'épaule de Slash. Constantin passa à la droite du Chevalier Noir alors qu'il se regardait, passant sa main sur son visage.

C'est pathétique n'est ce pas...

Un sourire inquiétait animait les lèvres de Constantin, et celui-ci l'effaca en portant la bouteille à sa bouche. Il se retourna et vit le loup à la patte cassée. L'olympien la prit dans les mains et examinait silencieusement l'objet, tandis que les Chevaliers Noirs l'observaient, perplexe. Un pulsion nerveuse lui parcourut les entrailles et d'un coup violent Constantin plaqua sa main contre la table, dans un bruit de bois broyé.

Qu'elle image devez vous avoir des Sombres Exécuteurs...

L'olympien était appuyer sur la table, la bouteille dans la main, des morceaux de bois dans l'autre.

Hrp: bof on hésite entre le saoûlard pas aidé et le crétin fini ^^....les troubles mentaux sont encore loins...si tu veux de l'aide pour ça passe par les Mp.

Xenos suivait la scène avec attention, sans faire ni remarque ni geste. Sous son visage personne n'aurait pu décrire les sentiments qui y vivaient. Il fit quelques pas en arrière et s'adossa au comptoir. Croisant les jambes il attendit la suite en silence.

Tout s'était enchainé à une vitesse surprenante devant les yeux d'Anthéa. L'arrivée de Slash avait tout d'abord créé une vive étincelle suivie de très près par la mise à feu rapide, et pourrions nous dire, sans douleur d'une bombe portant le nom de "haine" envers Cosntantin.

Les ongles de l'éclaireuse se plantèrent lentement et sans bruit dans le bois du comptoir derrière lequel elle se trouvait.

Au fur et à mesure de la discussion ses pupilles se rétractèrent et les paillettes cuivrées de ses iris semblaient se mouvoir dans la mer ambrée de ses yeux.

Son regard enflammé passait d'un olympien à un autre, sans réellement se fixer, jusqu'au moment où, à l'instant même où le feu de l'âtre crépita un peu plus fort qu'à l'accoutumée et que la lumière changea quelque peu, elle frappa violemment du poing la tablette du bar devant elle.

Dans un même mouvement et sans même prendre parole elle tourna les talons et parti en direction de la porte de sortie.

Xenos avait senti sa soeur perdre le contrôle mais n'avait rien pu y faire, silencieusement il la suivit dehors. Il n'avait en fait pas grand chose à faire ici, et peut être pourrait il l'aider à se calmer...bien qu'il n'en ait guère l'impression.

Seigneur Loup Nombre de messages : 205 Date d'inscription : 30/07/2005

Tu bois trop, Constantin.

La déclaration avait été faite sans animosité mais avec force de calme et de lucidité, ce mélange inexplicable de certitude et d'étonnement. Imperceptiblement, il laissa son baudrier glisser un peu plus de son épaule gauche. Un seul milimètre suffisait à se savoir en sécurité. Il leva un sourcil.

Quelle image? Ton groupe est aux antipodes du mien. Les tiens recherchent la gloire et les paillettes. Nous nous complaisons dans l'ombre et une reconnaissance fraternelle. Nous sommes une meute, pas un ramassis de chiens galeux. Nous tuons en silence, nous n'aboyons pas comme des dératés. Nous sommes des loups.

Soyons honnêtes maintenant, Constantin. Je te considérais comme un loup. Et plus j'entendais les échos de tes faits, plus cette vision de toi se dégradait. Tu n'es plus aujourd'hui qu'un autre. Tu le sais très bien. Pour moi, il y a les Chevaliers Noirs et le reste du monde...

Son regard ne glissa pas vers la statuette écrasée qu'il venait de broyer. Il demeurait fixé sur Constantin. Il ne pensait pas moins cela dit.

Plus je te vois, plus tu t'écartes de notre monde. Et plus tu es amené à devenir un ennemi. C'est toi qui brise nos liens....

Il pencha la tête sur le côté en entendant Althéa fulminer, puis le bruit de ses pas furieux claquant sur le dallage.

Et en plus, tu me prives d'une très agréable compagnie. Xenos... Il regarde le chevalier noir et fait un bref hochement de tête.

Va la chercher, veux-tu?

Oui seigneur, je ferais mon possible pour la ramener......et le mieux disposée possible.

Xenos sortit donc à la suite d'Althéa.

Langue pendue Nombre de messages : 61 Date d'inscription : 04/01/2006

La gloire et les paillettes... la gloire et les paillettes...

L'olympien titubait dans la taverne, la bouteille presque vide dans les mains.

La gloire et les paillettes... Ne me compares pas aux paladins. Je fais le même travail que toi! La seul différence est que je ne tue pas pour moi et pour une cité, mais pour les autres. Crois moi je n'ai que faire de la gloire, d'ailleurs je n'ai que faire de quasiment tout. Vois ou j'en suis arrivé. Un assassin attendant un contrat avec impatiance, je n'en tire aucun plaisir, je n'en ai plus aucun d'ailleurs. Et quand me viens l'idée de venir en ces lieux, pour revoir ceux qui me sont chèr... Enfin bref.

Constantin leva la bouteille au dessus de sa bouche mais seul une goutte tomba dans sa gorge. L'olympien la posa sur la table, vide.

Je ne suis pas ton ennemi pourtant...

Le Sombre Exécuteur était assit sur une chaise, le regard autre part, perdu dans ses pensées.

Les deux coudes posés sur le comptoir, les doigts croisés en hauteur, et la tête posée à l'intersection de ceux-ci, Cormag se permit de prendre la parole, souriant comme à son habitude...

Ecoutez le enfin, Seigneur Slash, et prenez-en de la graine. Lui il ne combat pas pour lui contrairement à nous qui combattons pour notre ville, égoïstes que nous sommes, non, lui il combat pour les autres...
Les autres ? tiens mais oui, mais quels autres ? les Sigdiliens ? les Sombres executeurs ? Par Zeus, il combattrait donc pour ses amis !... Or combattre pour ses amis, c'est combattre pour la survie ou la gloire, ce qui le rapprocherait des Paladins... Mince de mince il vous a pourtant dit qu'il n'avait aucun rapport avec ceux-ci. Alors disons qu'il combat pour la survie de ses amis, car les voir mourir, tous ces rebus de notre impitoyable dictature, lui procurerait grand peine... Mais dites-moi ! Encore une contradiction, je ne comprends vraiment plus, car il se trouve que le contraire de la peine se trouve être la joie qui engendre le plaisir ! Plaisir qu'il n'epprouve plus à rien enfin, il vous l'a dit !!!

Donc en fait il tue pour rien. Donc c'est un pauvre gars. Les pauvres gars sans buts ni ambitions qui se permettent de faire le mal et de demander des félicitations, j'ai pas l'habitude de laisser ça passer, j'ai plutot la facheuse habitude de les retrouver derriere la porte de leur armoire pour leur carresser la carotide de ma dague, pour rire.

[HRP /|\ la réponse à venir doit être dans le feu de l'action quelle que soit la réaction svp pas d'anti RP ^^\|/]

Un froissement de tissu trahit l'arrivée d'Althéa qui revenait du patio. Elle passa derrière le bar, comme si elle ne l'avait jamais quitté et se servit un verre de vin.

Le tribunal inquisiteur est-il toujours en place ?

Seigneur Loup Nombre de messages : 205 Date d'inscription : 30/07/2005

Cormag.... Arrête.

Le ton était froid et calme, mais sans appel. Son regard se posa un instant sur le jeune chevalier noir, aussi glacé et tranchant que le timbre de sa voix, avant de se reporter sur Constantin.

Quant à toi..Si je ne m'abuse, tu as toujours proposé à ceux qui intégreraient des rangs la gloire et la puissance... L'argent... Les paillettes en somme. Ne me mens pas, ou du moins ne te mens pas à toi même. Heinrich aussi recherche la gloire. Des hommes perdus dans un simulacre de vérité, à la recherche d'une autosatisfaction qui passent par l'exécution d'autrui. Tuer pour vivre est une chose mais vivre pour tuer, et se faire craindre, en est une autre.

Il émit un soupir et secoua la tête.
Va, Constantin. Pars d'ici. Si tu ressens le besoin de te reposer, tu peux dormir. Il y a un matelas et une couverture dans l'arrière pièce. Tu as trop bu. Et je ne discute pas avec les hommes ivres. C'est une perte de temps.

Sans un autre mot, il claqua les talons. Il s'arrêta et regarda Althéa qui venait de rentrer d'un air très étrange, comme s'il la questionnait du regard. Il se maintint dans un mutisme de circonstance cela dit, et alla contempler le feu crépitant de la taverne.

Langue pendue Nombre de messages : 61 Date d'inscription : 04/01/2006

( HRP// Merde j'ai pas eu le temps de répondre à Cormag //HRP )

Constantin s'approcha de Cormag, ses yeux allant de droite à gauche, avant d'arriver à quelque centimètre du Chevalier Noir.

Des ennemis... Tu veux ennemis?

Tout en parlant la main du Sombre Exécuteur montait jusqu'au cou de l'olympien, sans pour autant le toucher.

N'en as tu pas assez? Un de plus?! A quoi bon! Pourquoi!?

La voix de Constantin était irrégulière, parfois douce et calme d'autre fois énervée et grave.

Je sais ce que c'est que d'avoir des ennemis, de nombreux ennemis... qui vous haïssent, qui ne désire que vous tuer, seul sentiment qui les guide vers vous.

Slash se mit ensuite à parler, toujours autoritaire sans perdre le respect qui marque habituellement sa voix. Le Sombre Exécuteur se retourna vers son ancien chef de meute.

Les gens sont ce que l'ont fait d'eux. On peut toujours rester maître de soit, faire que ce que l'on veut, mais on ne peut pas rester indifférent à certaines choses, et tu le sais tout aussi bien que moi... Tu n'es pas né Chevalier Noir, comme moi je ne suis pas né Sombre Exécuteur.

Le regard de l'olympien dévia très rapidement vers Althéa avant de retrouver son interlocuteur.

Comme tu le dis si bien je ne suis pas apte à rentrer, aussi je me permet d'user encore de ton hospitalité, si tu es toujours d'accord.

Althéa répondit au regard de Slash en fermant les yeux et en baissant légèrement la tête en guise de rassurement. Elle se dirigea ensuite vers Constantin et lui fit face. Elle baissa légèrement son regard pour plonger ses yeux dans les siens et lui murmura quelques mots

Je ne te reconnais plus Constantin. Que c'est-il donc passé pour que tu en arrive à un tel désespoir ?

Elle lui tendit la main pour l'inviter à la suivre

Je t'offre une hospitalité sincère, suis moi. Mais je te préviens, un seul mot sur un soit disante faiblesse de ma part et je te tranche la gorge moi même ...

Langue pendue Nombre de messages : 61 Date d'inscription : 04/01/2006

Une main apparut sous les yeux de Constantin : celle d'Althéa. Le Sombre Exécuteur leva lentement les yeux, qui se posèrent dans ceux de l'olympienne. Ses yeux se baissèrent de nouveau vers cette main. Ce geste très symbolique pour Constantin représentait beaucoup. En général lorsqu'il prenait une main, c'était pour la broyer avec son gantelet de fer, celle d'un ennemi. Le Sombre Exécuteur tendit à son tour la main, et lentement entra en contact avec celle d'Althéa, tandis qu'un léger frisson lui parcouru le dos. Sa main était douce et chaleureuse. C'est alors qu'il se rendit compte que jamais Constantin ne l'avait ni toucher, ni même effleurer. L'olympien leva les yeux, sa main dans celle d'Althéa, sans rien dire, à attendre.

Althéa entraina Constantin vers la pièce indiquée par Slash tout en plongeant son autre main dans une poche de son corsage.
En passant devant le maitre assassin, elle fit une courte pause pour le regarder et lui glissa un objet dans la main avant de repartir avec son hote.

Bonne soirée messieurs, je ne bougerai pas de cette pièce de la nuit. Si vous avez besoin de moi, vous savez donc où me trouver.

Ses mots, bien que posés, semblaient contridactoires avec le sentiments qui se lisait sur son visage et qui indiquait clairement, lui, qu'elle voulait qu'on les laisse tranquille.

(suite ici : https://factionjeurole.forumsrpg.com/viewtopic.forum?p=1371#1371)

Seigneur Loup Nombre de messages : 205 Date d'inscription : 30/07/2005

Slash les regarda s'éloigner, une expression indéchiffrable sur le visage. Il ouvrit sa main, observant l'objet qu'Althéa venait de lui remettre, avant de le glisser sous sa tunique. Il demeura un instant silencieux, réfléchissant sans doute, ses yeux perdus dans le vague ne perdant guère de leur intensité. Les bras croisés, les minutes s'écoulèrent. Il finit par secouer la tête et s'avança jusqu'à Xenos.

Je vais me coucher. Passe une bonne nuit, fit-il en donnant une tape amicale à l'épaule du chevalier noir. Il s'écarta, et ft un hochement de tête en direction de Cormag avant de s'éloigner, aussi silencieux qu'une ombre, qu'une fumée.

Hrp: mouarf Xenos n'était même pas encore reviendu ^^....quel mauvais Rp Very Happy

Xenos venait tout juste de reparaître dans la taverne quand Slash partit se coucher. Il se retrouvait plus ou moins seul avec Cormag. Mais lui-même était fatigué et avait une ou deux choses à faire avant de pouvoir dormir.

Bonne nuit mon seigneur. Cormag, je serai volontiers rester discuter avec toi mais je crains que cela ne doive être remis à demain, je suis vidé ce soir et je ne pense pas que la conversation d'un olympien endormi t'intéresse. Sur ce donc, je vais te souhaiter la bonne nuit et m'en repartir. A bientôt, et continue à prendre soin de toi!

Xenos tourna des talons et s'en repartit au milieu de la nuit, montant jusqu'aux quartiers résidentiels de la tour.

N'aie aucun regret va, je continuerai juste à parler de mes passages secrets de folie avec la table basse. Je te souhaite bien la bonne nuit, et que la route qui te sépare de ton lieu de coucher soit calme et sans embuche.

Et l'Olympien fier de sa soirée, sur qui les effets de ce qu'il avait pu fumer avant son arrivée se faisaient sentir, reprit sa discussion passionnante avec la table basse.

sale has been

Althéa sorti de la salle où se trouvait Constantin et se dirigea vers Cormag. Elle s'accroupit devant lui et lui parla doucement pour ne pas trop le déranger dans son assoupissement.

Cormag ? Je te laisse la garde de notre "invité". Veilles à ce qu'il ne soit pas dérangé et qu'il soit parti à l'aube.

Déstabilisé, l'Olympien sursotta, et quitta des yeux la chaise pour les poser sur Althéa et de ce fait, reprendre ses responsabilités.

Aucun problème, j'irais attendre celui-ci au-dessus de la porte ma dague à la main. Un sourire plus fatigué que d'habitude, l'Olympien se permit de faire un clin d'oeil à sa soeur voyant que celle-ci tenait à son tout nouvel ennemi... Et l'air plus vif et sur, il continua...
N'ayez crainte j'aurais peine à blesser quelqu'un que vous estimez, même si celui-ci s'averrait être l'assassin de mon père adoptif, je m'occuperai donc de votre... ami, Constantin comme je l'aurai fait d'une connaissance...

Mais je ne pourrais, en cas d'une quelconque agréssion venant de lui envers moi, garantir la bonne santé de celui-ci... ou la mienne.

Je ne te demande pas de jouer les nurses, mais je te remercie Cormag.
Passe une bonne nuit.

Althéa sortit de la taverne et se dirigea vers les quartiers privés de la forteresse.