Premiers pas...

Slash lui avait demandé de venir se présenter auprès de ses futurs compagnons... Voilà qu'à présent, il n'avait plus qu'un pas à faire pour franchir le seuil de la taverne des Chevaliers Noirs. Son ancienne vie était belle et bien enterrée, un nouvel horizon s'ouvrait devant lui.

Marquant un temps d'arrêt, il dévisagea chacun des olympiens présents près du comptoir. Bavardant de choses et d'autres, ils paressaient unis, rassemblés autour d'un certains nombres de convictions. C'était maintenant à lui d'essayer de s'intégrer aux Loups d'Ordenum. Ce ne serait pas une chose facile, mais il ferait de son mieux.

Remarquant qu'il restait une place de libre, il décida de si installer.

Eh Rolf!!

Xenos venait tout juste de remarquer la présence de l'ancien gladiateur.

Il semblerait que tes pas aient été guidés jusqu'à nous. Cela me fait plaisir de te voir, alors bientôt Loup?

HRP: tendit Cormag...tandis que...et tendre qch.

Mon dieu je dois laisser ma place de dernier arrivé... Tu m'as l'air sympathique, c'est avec plaisir que je t'abandonne mon titre, mais ça me faisait quand même une excuse pour laisser apparaitre mes faiblesses. Veinard... Après avoir salué le futur Chevalier, Cormag, souriant comme à son habitude, tendit (tandit ?) un tabouret de bois massif qui se trouvait près d'une table plus loin...

Eh bien, Xenos et Cormag, le moins que l'on puisse dire c'est que vous n'avez pas mis bien longtemps à remarquer ma présence !

Saisissant à l'aide de ses deux mains le tabouret tendu par Cormag.

Xenos, tu nous suis pour que l'on finisse cette conversation un peu mieux installé autour d'un verre ou deux ? Comme ça, je pourrais vous raconter mon passé, ainsi que les différentes raisons qui m'ont poussé à intégrer vos rangs.

Au fond de la taverne un autre Chevalier Noir terminait une discussion avec une étrange personne. Esquissant un sourir l'assassin finissait son verre pour ensuite se lever et murmurer quelque parole à l'homme aux aspects quelques peu miteux et barbabresques.
S'éloignant de l'Olympien Bahel' vit le nouvel arrivant acceuillit par ses frères. Un nouveau sourir venait dessiner ses lèvres alors que l'imposant Chevalier s'avançait.

Voilà donc une nouvelle recrue ?

Dit-il en s'arrétant à coté de l'ancien gladiateur.

Enchanté de te rencontrer Rolf, je me nomme Bahel' pas besoin de te le dire je pense, je suis moi même un Loup d'Ordenum. Donc un de tes frères d'arme à présent.

Son sourir ornant toujours son visage l'assassin lui tendit sa main gantée d'un cuir assez sombre alors qu'il regardait rapidement la table ainsi que Cormag et Xenos.
Dis donc au lieu de prendre toute la place vous pourriez me faire un peu de place vous autres ! Pas possible ça, bande d'égoïste !

Ben ma foi c'est que ta présence se faisait rare ces derniers temps alors je tenais ton siège au chaud!

Allez assayez vous, que souhaitez vous boire, je me charge de vous apporter les commandes?

Alors que Rolf se réjouissait que quelques Chevaliers Noirs daignent l'accueillir, il aperçut une imposante silhouette se détacher du fond de la salle. Au fur et à mesure que cette ombre se rapprocha de plus ambles détails permirent d'affirmer qu'il était à coup sûr lui aussi un des membres des Loups d'Ordenum.

Quand, une fois parvenu à ses côtés le Chevalier Noir, lui tendit la main en guise de salut, Rolf la saisit avec un certains empressement.

Bahel'... Bahel'... Effectivement ce nom me dit quelque chose, néanmoins ton apparence m'était plus mystérieuse... Toujours était-il que je suis très flatté que tu te sois déplacé pour moi, comme vous deux également Xenos et Cormag (Balayant ses deux autres compagnons du regard.)

Puis repensant à la demande de Xenos, Rolf réfléchit à ce qu'il pouvait bien commander. Il regarda les quelques boissons qui se trouvaient encore sur le comptoir.

En ce qui concerne la boisson, je crois que je vais encore faire confiance à Dionysos, du vin s'il te plait Xenos !

Sur une table à l'écart, une femme dévisageait le nouvel arrivant et ouvrit un carnt qu'elle commença à noircir de notes. Quand elle eu finit elle se reservit à boire et parla d'une voix très basse :

Hum...Un de plus, je n'en finirai donc jamais de chercher...

Puis elle vida son verre d'une traite.

Trés bien Rolf attend donc ici, je vais aller te chercher ça!

Xenos partit, laissant ce petit groupe parler entre eux, mais avant que d'aller vers le comptoir il s'approcha de sa soeur Séléna. Et reprenant faiblement:
Et bien ma soeur, tu sembles bien morose, encore en train de ruminer cauchemars et souvenirs? J'aimerais tant voir un sourire poindre sur tes douces lèvres... Mais je ne suis pas fou ni ménestrel et je ne sais trop comment y arriver. En tout cas n'oublie pas ce que je t'ai dit hier soir, de tout temps je serai là si tu as besoin. N'hésite pas à venir me voir, même si ce n'est pour rien.

Puis se relevant il pressa la main de Séléna qui était posée sur la table et repartit vers le comptoir préparer la boisson de Rolf, il apporta celle-ci à la table et retourna s'occuper du feu qui manquait alors de bois.

Langue pendue Nombre de messages : 94 Date d'inscription : 24/05/2006

La porte, toujours aussi causante, averti les olympiens assemblés au sein de la taverne, de l’arrivée d’une nouvelle personne. Elidyr franchit le seuil, puis la laissa se refermer en saluant les personnes présentes d’un mouvement de tête.

Dame Séléna ! Messires chevaliers !

Et se laissa glisser jusqu’à la cheminée, où s’activait Xenos, le visage enjoué.

Toujours aussi prévoyant mon cher Xenos ! Et cette rapière, te donne t elle satisfaction ?

Eh, Elydir!!

Xenos se releva, un sourire égayant ses traits, et serra la main de l'olympien.

Ma foi je ne change pas trop de ce côté là. Quant à la rapière pour l'instant j'en suis plutôt content, même si je n'ai pas eu tant que ça l'occasion de la faire travailler. Ce qui n'empêche qu'elle a déjà goûté le sang.

Et toi comment vas tu? Cela faisait un petit moment qu'on ne t'avait pas vu ici, ni ailleurs de surcroit. Tiens, asseyons nous donc sur le banc pour discuter.
Et ce faisant, Xenos alla se délier les jambes, se posant nonchalemment sur le banc de chêne.

Séléna semblait maitenant légerement grise quand elle se reservit encore un verre. Toujours à l'écart, elle contempla assez longtemps Elidyr avant de le reconnaître.

Tiens...Lui aussi ici...Un lardanien, après tout pourquoi pas lui ?

Elle rouvrit son carnet et commença à noircir une nouvelle page.

Tant de personnes...Ce carnet ne sera donc jamais rempli !?

Et elle but encore son verre et sombra un peu plus dans son mutisme.

Excuse moi Elydir, je reviens au plus vite...

Xenos changea d'expression, son regard se faisant dur, mais pas froid, et il se dirigea vers la table où Séléna buvait plus que de raison. Gentiment il retira la bouteille de devant elle et s'assit face à sa soeur:

Tu devrais arrêter Séléna, ça ne fait qu'empirer ta morosité. Va donc faire un tour sur les créneaux, si tu veux je t'accompagne, ou alors va te reposer dans ta chambre, ou ici même devant la cheminée, viens avec moi et Elydir....mais je t'en prie arrête ça. Je ne permettrai pas qu'un Chevalier Noir se laisse aller devant autant de monde. Toi même en temps normal tu ne te montrerais jamais ainsi, n'est ce pas?

Pendant ces quelques phrases Xenos avait rebouché la bouteille qui arrivait sur sa fin et l'avait gardée à la main.

Séléna émergea péniblement de la douce tropeur qui l'envahissait. Considérant un instant Xénos puis la bouteille qu'il avait gardé à la main, elle fronca les sourcils. Au terme de ce qui semblait un effort surhumain elle parvint à articuler :

Tu n'as donc aucune pitié pour venir m'importuner ainsi au plus profond de mes tourments Chevalier !

T'ai-je demander ton aide ou de te soucier de moi ?
Cette bouteille que tu tiens dans ta main est le seul réconfort dont j'ai besoin, Sa voix se fit soudain plus forte et ses yeux s'emplirent de haine.
du moins jusqu'à que la vie de cette ordure s'échappe du trou béant que je lui aurai fait dans le ventre !

"En temps normal" ! "EN TEMPS NORMAL" ! Ne comprends-tu pas que le temps n'a plus jamais été normal depuis cette nuit la !
Quant aux gens présents ici je ne vois que des assassins ou assimilés, cela m'étonnerait que voir quelqu'un boire pour oublier un temps soit peu son fardeau ne les choque !

Elle se leva péniblement et parvient a aggriper d'une main le dossier de sa chaise tandis que l'autre reposait à plat sur la table.

Maitenant, Chevalier, je te prierai de me rendre cette bouteille ou d'aller m'en chercher une autre puisqu'apparement tu veux m'être utile...

Xenos regarda Séléna d'un oeil triste.

La taverne, il me semble, des Chevaliers Noirs n'est pas un lieu où s'ennivrer. Si tu souhaites te détruire ainsi fait le, mais dans tes appartements ou alors à la taverne d'Ordenum, tu devrais y trouver des camarades de beuveries!

Dans son ton se sentait une pointe de dégoût, et en même temps ses yeux montraient plus de la peine.
L'olympien se leva et jeta la bouteille dans les mains de Séléna tout en se retournant, sans vérifier si celle-ci réussirait à la rattraper ou non. Les poings crispés il rejoignit Elydir devant la cheminée et s'assis lourdement.

Malgré son air bravache les paroles de Xénos l'avaient touchée droit au coeur et Séléna prit soudain conscience, à travers les yeux de son frère d'arme, qu'elle était tombée bien bas ce soir-là.

Elle ne fit pas un geste pour rattraper la bouteille lorsque Xénos la lui lança, parceque celle-ci la dégoûtait mais aussi parcequ'elle était incapable de lacher sa chaise et de rester debout en même temps.

Elle voulait aller vers Xénos et s'excuser, lui dire à quel point elle avait honte d'elle mais elle ne le pouvait pas. Elle ne pouvait se permettre de montrer encore plus de faiblesses devant l'assemblée présente, cela nuirait à l'accomplissement de ses...recherches.

Alors elle partit difficlement s'asseoir un peu plus loin sur un fauteuil et elle ferma les yeux de façon à récupérer ses moyens le plus rapidement possible. Elle savait que le sommeil mettrait longtems à venir mais espérait qu'elle avait suffisament bu pour ne pas se rapeller de cet épisode à son réveil.

Elle tournait le dos aux personnes présentes aussi elles ne purent remarquer les fines rigoles salées qui s'échappaient de ses yeux.

Tout en s'asseyant tranquillement le Chevalier Noir ne manqua pas de saluer Elydir d'un mouvement de la tête sans pour autant quitter de ses prunelles violacées la petite scène qu'offraient Séléna et Xenos.
Un sourir étirant ses lèvres il ne put s'empécher de sourir face à ce spectacle qu'il connaissait si bien. Délaissant du regard Séléna l'assassin observa son verre à moitié vide alors que sa voix s'éleva doucement dans la salle.

Tu ne permettrais pas ? Mais Xenos je ne crois pas que tu ai le droit de permettre ou d'interdire des choses aux Loups d'Ordenum. Nous sommes tous égaux, seul Slash peut ne pas permettre, toi tu peux seulement désaprouver, rien de plus.

Sa voix se fesait calme mais son regard était dur, comme si les propos de son frère d'arme l'avaient choqué. Alors que tout en parlant Bahel' redressa son regard vers Xenos.

J'ai remarqué que tu étais très présent au sein des loups, rien de grave au contraire... Mais de part ce fait j'ai l'impression que tu te permets un peu trop de chose... A mon gout.

Alors tu m'as mécompris. Je sais ma place, il m'arrive certes comme tout le monde d'avoir des dires qui dépassent mes pensées...Mais là je ne m'adressai pas à elle en tant que Loup mais en tant qu'ami. Excuse moi de na pas aimer la voir ainsi.

Xenos était énervé et cela se voyait, et pour au moins la seconde fois, sous la pression de l'énervement un autre lui apparaissait. Non pas qu'il se mettait en avant, mais plutôt qu'il se sentait incapable d'aider et que cela le faisait souffrir. Et dans ce cas là, il lui arrivait de dire un peu n'importe quoi.

Maintenant, tu m'excuseras Bahel' mais même si je suis heureux de te revoir, je ne suis pas d'humeur à te faire causette pour le moment.

Et il se retourna carrément vers le feu, où ses yeux jaunes se fixèrent implacablement. Sa main droite était serrée, la gauche broyait le bord du banc de bois.

Langue pendue Nombre de messages : 94 Date d'inscription : 24/05/2006

Elidyr accueillit avec chaleur, le sentiment simple qui avait dicté les phrases du Chevalier Noir, et accepta de s’asseoir avec lui sur le banc de bois après avoir appuyé cape et épée contre le mur à ses cotés.

A part le fait que j’ai compris qu’il ne fallait pas espérer trouver trop d’honneur chez les gé….

Il n’eut pas le temps d’achever sa phrase. L’attention de la taverne fut attirée par les Sélèna, et Xenos se releva immédiatement pour jouer les chevaliers servant. Geste qui fut moyennement apprécié par Bahel’ d’ailleurs, à qui il avait rendu son salut de bien venu.

C’est donc un Xénos renfermé qui vint reprendre une place avec lui sur le banc de chêne. Toute la scène c’était joué sous le regard d’ambre et d’obsidienne sans qu’il parus s’en émouvoir, mais sans non plus qu’il parus en perdre une miette.

Posant une main sur l’épaule du chevalier, il serra un instant celle ci en se relevant puis se dirigea vers le bar en sortant deux pièces d’argent. Il attrapa trois verres, et une bouteille de vin dont il connaissait le nom et la réputation pour la façon tardive de faire la vendange.

Ainsi chargé, il s’avança vers le fond de la salle. Arrivé devant le fauteuil de Séléna, il posa son chargement, sortit d’une petite poche de son vêtement un tube taillé dans une branche de sureau, en versa le contenu, un liquide épais dans un verre qu’il remplit ensuite de vin en le faisant tournoyer.
Les gestes avaient été rapide et sûr, et qui plus est, fait sans chercher à ce masquer aux yeux de la louve.
Prenant alors doucement la main féminine, il y déposa, le verre remplit.

Séléna, vous ferrez comme vous voudrez, mais ceci calmera les effets de l’alcool, par contre la contre partie, est invariablement une descente lente et douce vers le royaume des songes.
Je vous laisse seule juge.

La voix ferme, douce et posée, n’en rajouta pas plus, et ne dit rien sur d’éventuelles traces humides.
Elidyr chargé de la bouteille et de deux verres était déjà de retour près de la cheminée, et plus précisément à hauteur de Bahel’ bouteille tendue.

Puis je compenser ce que l’ivresse t’a fait évaporer ?

Xenos restait de marbre face au feu, dans ses yeux jaunes brillaient une flamme vive et puissante. Un feu intérieur qui menaçait de le submerger. Il semblait que tous ses efforts, visibles par le crispement de ses muscles lui servaient à garder quelque empire sur lui même. Il entendit Elydir se lever, et perçut une part de son manège mais il n'avait pas encore la force de détourner son regard ni de baisser ses défenses....

Langue pendue Nombre de messages : 94 Date d'inscription : 24/05/2006

Bahel’ ne bougeait pas. Commençait il à ressentir les premiers effets de ce poison insidieux qu’était la liqueur de violette ?
Nul ne saurait le dire, mais Elidyr en doutait fortement. Le chevalier était depuis qu’il en avait fait la connaissance, coutumier du fait, et il ne pensait pas qu’il se procurait sa liqueur dans ces débits de boissons où la distillation délicate de cette fleur se faisait dans de bien curieuses conditions.

Le jeune olympien remplit les deux verres vides qu’il tenait, et posa ensuite la bouteille, encore au deux tiers pleine, près du Loup.

Quand tu voudras changer de breuvage, essai donc celui-ci, tu m’en diras que du bien je pense !

Il se débarrassa ensuite du petit tube en sureau au milieu du feu qui ondulait lascivement le long des pièces de bois garnissant le foyer. Puis, munit des deux verres, il prit place en travers du banc, jambe droite repliée, dos appuyé contre la pierre du corps de la cheminée, ses effets non loin, et le regard tourné vers le profil de Xenos dans un premier plan, le reste de la salle dans un second.

Il resta ainsi un instant. Jugeant que parler de sa façon actuelle de voir les géants n’apporterait rien il repris leur début de discussion sous un autre angle, en lui tendant un des verres. Le bois du tube claqua en émettant quelques étincelles.

Je n’étais pourtant pas très loin, des fois même fort près. Assez pour avoir entendu parler d’un banc de luthier en tout cas. D’ailleurs es tu à la recherche de nouvelles histoires à conter ?

Xenos se força à se détendre, ce qui lui prit tout de même une bonne minute. Puis lentement, il réussit à amener le verre aux bords de ses lèvres et à avaler une gorgée que lentement il laissa glisser le long de sa gorge, lui réchauffant doucement les entrailles. Puis, enfin, il répondit à Elydir:

Et bien, je ne me vois pas vraiment comme un ménestrel. Je ne pense pas avoir un don suffisant. Toutefois, cela pourrait m'intéresser oui. Ca me forcerait à travailler mes vers. Et puis il peut toujours être intéressant de laisser trace de quelque action importante, ou bien seulement même d'un sentiment entre deux êtres.
Raconte toujours, nous verrons après ce qu'il est possible de faire.

Ses yeux calmement baissaient de vivacité et retrouvaient peu à peu une lueur orangée. Malgré tout, des paillettes jaunes restaient toujours visibles au centre de ses iris. Son corps retrouvait son aspect félin, ses mouvements leurs agilité sobre. Peu à peu, Xenos reprenait l'emprise de lui même.

Ne t'inquiète pas pour moi Elidyr, mon breuvage me convient très bien. Je n'ai guère envie d'échanger du vin pour un autre vin. Le mien doit être tout aussi bon que le tien, crois moi...

Sans un regard pour Elidyr ainsi que sa bouteille l'assassin finit le fond de son verre. Contrairement à ce que semblait penser son confrère Bahel savait quand boire de l'alcool fort et ce n'était guère le moment d'en boire. De plus le Chevalier Noir n'avait pas besoin de s'enivrer pour dire ce qu'il pensait.
Reposant le verre sur la table, l'Olympien reposa son regard sur Rolf.

Et bien tu ne parles pas beaucoup l'ami, aurais-tu perdu ta langue ?

Langue pendue Nombre de messages : 94 Date d'inscription : 24/05/2006

Je ne voulais pas changer ta boisson, juste t’offrir d’autres horizons, mon cher Bahel’.

Observe la crispation du visage de Xenos savamment atténuée.

Ce n’était pas pour les besoins d'un ménestrel que je te demandais cela, je n’ai pas de grands exploits à faire passer dans les mémoires, ni de romance d’ailleurs, c'était juste pour savoir si une histoire toute simple avait de l’intérêt à tes yeux.

Doucement avale une gorgée de vin.

Tout ou presque, peu avoir un intérêt certain. Conte moi donc ton histoire, et dis moi ce que tu aimerais me voir en faire. Je suis tout ouïe.